Ma langue chère
Longtemps verrouillée
Sur ton vaste jachère
Tu réapparais mouillée
Tu es restée sage
Dix siècles et des ans
Beaucoup te croient intruse
Bambin d'un an d'âge
Prématurés sans poids
Tes jours renaissent
Tes lèvres mi-closes
Ont des cris sans voix
Tes baroques cuillerées
N'ont pas encore franchit le mur
Tes Libres tâtonnent encore
En esprits peu aérés
Non, tu n’es pas allogène
Fini l'ère des pleurs
Gracie le temps innocent
Ayant éparpillé tes aborigènes
Tu es pure plus que le satin
Pure, pure comme tes disciples
Qui t'accueillent bien chez toi
Au réveil de leur petit matin…
Berraha H. (2-12-09)
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© MCN :: C1HVN-MR6XT-A63R6
Fini l'ère des pleurs
Gracie le temps innocent
Ayant éparpillé tes aborigènes
Tu es pure plus que le satin
Pure, pure comme tes disciples
Qui t'accueillent bien chez toi
Au réveil de leur petit matin…
Berraha H. (2-12-09)
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